Cassidy Hennelly & Alice Hennelly & Joana Hennelly & J. C. Hennelly & Roderick Ramsey
C'était facile pour moi de trouver quelque chose qui pourrait faire plaisir aux enfants de ma sœur, je devais probablement être toujours à ce stade de l'enfance, où tout cadeaux me faisaient vraiment plaisir. Alors, pendant que Cassidy répondait à ma grande sœur, je prenais le temps d'aider ma petite nièce à déballer son cadeau. Ses petits yeux brillants et ce petit bisous qu'elle m'offrit avait le don de m'émouvoir : « Je suis contente que ça te plaise, Microbe ! » J'étais vraiment ravie, je n'avais plus qu'à attendre que le Dormeur encore en couche culotte se réveille pour lui donner le sien. J'étais capable de repartir avec : « Inutile de te dire, Maman, que je trouve le premier mot moins péjoratif que l'autre mais pardooon.. Je ne voulais pas jeter un froid.. Je pensais que vous aviez l'habitude depuis le temps ! » Je ne m'étais jamais censurée lorsque ça concernait Jax. A vrai dire, je pensais même y avoir été un peu soft par rapport à ce que je pouvais bien lui dire. Il pouvait bien me répondre, je n'étais plus tellement susceptible, surtout en se rappelant les insultes provenant tout droit de mon paternel. Si seulement il savait ce qu'il se passait vraiment dans ma petite vie. Je pris une profonde respiration en allant vers mon beau-frère en l'enlaçant. J'avais toujours été très proche de lui. Il ne m'avait jamais jugé comme mon père et une relation très différente s'était mise en place entre nous. En tout cas, de mon côté, il avait toujours été la personne vers qui me diriger si jamais j'avais un problème. Je savais qu'il allait pouvoir m'aider, je pensais toujours qu'un jour, je devrais le remercier, il jouait un rôle encore plus important que celui d'un beau-frère : « Maintenant que tu as terminé de tripoter ma sœur, je peux te saluer ! » disais-je sur un ton ironique : « Merci pour l'invitation ! » Cela dit, tout le monde savait qu'il fallait m'en donner et pas seulement m'en promettre. Alors je pris un ton plus gamin en disant : « Bon, on va manger, parce que je ne sais pas vous mais je crève la dalle ! » Pourtant, je m'étais fait un brunch bien copieux mais aussi gloutonne que moi, on ne pouvait pas trouver. C'était techniquement impossible. Si j'habitais en campagne, je serais la plus célèbre mangeuse de pâte-bolo du village ou du comté.
Je suis heureuse, genre vraiment. Le avoir tous réunis sous mon toit me fait chaud au coeur. Je me blottis contre Rode après les avoir accueillis et embrasse mon garçon avant que ma jeune soeur ne me le pique. Je lève les yeux au ciel face à ses réflexions sur le fait de trouver un hôtel et quand elle ouvre son sac pour en sortir un cadeau pour Logan je suis exaspérée et peu surprise enfait. Faut vraiment, vraiment que tu arrêtes de la gâter comme ça. Et puis je ne peux finalement pas m'empêcher de sourire. Je m'approche d'Alice qui demande où se trouve Jonas. Je jette un rapide coup d'oeil vers son parc, il n'y est pas. Il doit sûrement être entrain de dormir. Je pense qu'il est bien au chaud dans son lit. Tu peux aller le chercher ? C'est l'heure qu'il mange, faut qu'il arrête de dormir comme ça il va veiller toute la nuit sinon. Autant je vois des enfants qui ne dorment pas assez à l'hôpital mais notre enfant à nous est une vraie marmotte. Je me surprends souvent à aller vérifier s'il respire encore pendant ses siestes interminables. Je me tourne vers Joana qui vient d'interpeler Jax d'une manière qui ne me plait pas. Joana, tu peux éviter de dire ce genre de mots devant mon fils de 5 ans, s'il te plait ? Je lève les yeux au ciel, elle est impossible. Puis si Jax t'appelait grosse c o n n e devant tout le monde, j'suis pas sûre que t'apprécierait, hein ? Je venais d'épeler le mot conne pour ne pas avoir à mettre 3 dollars dans le pot à gros mot. Ce n'était pas l'amour fou entre mon demi-frère et moi mais je n'appréciais qu'on parle comme ça aux gens, surtout aux membres de la "famille".
Faim. J'avais faim, tout simplement. Servir à mes clients de délicieux sushi toute une journée m'avait ouvert l'appétit. Et je n'attendis personne pour ouvrir la porte en furie ; ceux qui approuvent me suivront. Je me doute que personne ne s'y opposera de toute façon. "Franchement, tu peux me dire quand tu n’as pas la dalle toi ? ça ira plus vite hein !" Je me retournais vers elle une fraction de seconde pour lui lancer un regard et un petit sourire. Elle me connait bien, la petite. Après tout c'est bien ma sœur, celle avec qui j'ai partagé ma chambre pendant 18 ans.
J'annonçai mon arrivée comme une reine. D'ailleurs, j'étais suivi par mon frère et ma sœur comme je croyais. Cassidy m'a dépassée, pour nous amener jusqu'au salon. "L'invasion des Hennelly, où comment ça se passe ?" J'arrêtai mes pas en regardant ma grande sœur et lui sourit. C'est à peu près ça. Cass accueilli tout le monde y comprit son mari et ses enfants. "J'suis trop contente de vous voir." À mon tour, je la serrai contre moi et me redressai quelques secondes ensuite. "Vous êtes vraiment tous venu, je suis hyper content de vous voir à la maison." Prononça Rick peu de temps après. Moi aussi j'suis contente de vous voir. Okay. Peut-être que je n'avais pas beaucoup de cœur en temps normal, mais en famille c'était un peu différent. Ils ont toujours été là pour moi, m'ont toujours supporté dans tous mes états. Puis j'ai été élevée avec de bonnes manières même si je ne finirai définitivement pas ma vie médecin comme ma grande sœur. Joana était déjà accroupi à la taille de Logan, entrain d'acheter son amour avec des cadeaux. Je souriais avant de me mettre à rire, puis levai les yeux. Où est Jonas ? Mon regard tourna vers Jax qui venait de se faire aborder par ma petite sœur et doucement, un sentiment de frustration s’empara de moi.
Dis Joana, tu pourrais être un tout p'tit peu plus clair sur les dialogues de Joana et les séparer du dialogue des autres ? Parce que là j'ai eu du mal à me repérer un peu XD Puis j'ai assumé que tu parlais à Jax à la fin, puisque c'était pas trop clair x.x
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Je regardais mon.. grand frère avec un petit sourire narquois. On avait pas une grande complicité mais on aimait bien se charrier mais alors, que j’allais renchérir, je sursautais. La voix de ma soeur m’avait littéralement prise par surprise alors que je devais bien deviner qu’elles allaient être de la partie aussi. Tout de même heureuse de la revoir enfin dans un terrain plus neutre que chez nos parents, je lui lançais un petit sourire moqueur pour lui répondre : « Franchement, tu peux me dire quand tu n’as pas la dalle toi ? ça ira plus vite hein ! » Je retorquais juste pour le plaisir mais son arrivée avait débloqué la situation et je remerciais silencieusement son dos quand je me retournais pour la voir arriver : « Cassidy ?! » J’étais toujours aussi contente de la revoir même si je voulais avoir mon indépendance depuis longtemps, elles me manquaient toutes les deux : « L’invasion des Hennelly ou ça se passe comment ? » Elle arriva à notre hauteur et je me tendis. C’était difficile pour elle mais elle tenait à rester courtoise envers J.C. tout simplement parce qu’elle était l’ainée et qu’elle devait donner l’exemple : «ça va mon coeur ? » Je l’embrassais quant elle arriva à ma hauteur, je l’aimais beaucoup trop pour éviter de faire trop d’effusion : « Tu m’as manqué, je vais bien et toi ? » Il fallait se l’avouer, je ne les voyais plus aussi souvent que je voulais. Mais si c’était Alice qui ouvrait la marche au début, c’était finalement Cassidy qui nous avait permis d’arriver jusqu’au salon. Je retirais mon manteau mais je gardais mon sac avec moi. Toute la famille avait l’habitude que je le garde puisque je n’étais jamais loin de mon téléphone : « mon doudou… » mais pour cette fois, c’était pour toute autre chose. J’arrivais quand ma grande soeur saluait son mari et je ne pouvais pas m’empêcher de leur dire : « Trouvez vous une chambre… C’est une salle commune ici… Et y’a des yeux innocents ! » Je cherchais des yeux un petit bonhomme qu’elle aimait plus particulièrement qu’elle trouva puisqu’il s’attacha à sa mère comme un microbe : « Hey Microbe ! Viens voir ta SuperTante préférée ! » Je gatais cet enfant, je l’aimais énormément même si il m’était improbable d’en avoir un, un jour. Surtout si je continuais ma connerie à regarder J.C. comme je pouvais le faire : « J’ai une surprise pour toi, microbe ! Je passais devant une boutique sympa.. » Je mettais le ton, pour exagérer sur le fait que : «… que j’ai trouvé TOUT A FAIT par hasard.. et je n’ai pas pu m’empêcher de te dégoter ça ! » Il était petit c’t’enfant mais je m’en fichais. Je n’allais pas lui faire du “areuh areuh” Hors de question ! Alors je lui tendis un petit paquet emballé dans du papier cadeau. Lorsque le petit bonhomme me remercia de la jolie petite cabriolet rouge de collection, je me redressais et mon regard tomba sur Jax, que je n'aimais pas voir poser là dans un coin, comme un paria. Pour une fois, on pouvait être normale sans avoir le regard pesant de papa sur le dos : « Et gros con ! Tu comptes faire pot de fleur tout le dîner ou quoi ? »
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J’avais l’air d’un putain d’imbécile à attendre là, sur le pas de la porte, les mains dans les poches. D’autant plus lorsque Joana arriva, me narguant sans remord. « Salut. Ponctuel, ça fait bizarre hein ? » J’émis un grognement en hochant la tête. « On peut dire ça comme ça. » J’esquissai un semblant de sourire, ne sachant toujours pas comment agir avec elle-même si on s’entendait plutôt bien. Puis, une voix s’éleva derrière nous et je reconnu Alice avant même de la voir. « Vous attendez quoi la ? Je crève de faim. » Elle n’est pas la seule, moi aussi. Elle passa devant nous deux, ouvrant la porte comme si elle était chez elle et j’eu un sourire en la voyant faire. Alice menait le monde entier par le bout du nez. « Rick ? On est là ! »
J’entrai en dernier, n’ayant même pas le temps de refermer que, déjà, Cassidy arrivait. Bah putain, si ça c’est pas du timing! « L'invasion des Hennelly, où comment ça se passe ? » Je lui souris à elle aussi, répondant à son étreinte –brève, mais un baiser sur la joue tout de même. Je savais qu’elle avait du mal avec moi, mais ça ne l’avait jamais rendu désagréable vis-à-vis de moi et je suppose que je devais être reconnaissant pour ça. Elle fit le tour des invités avant d’aller vers son mari et finalement ses enfants. Ugh, c’est vrai, ils ont des enfants. Seigneur. « Vous êtes vraiment tous venu, je suis hyper content de vous voir à la maison. » Demeurant en retrait, je regardai la scène de famille se dérouler sous mes yeux, me sentant étrangement extérieur à l’ambiance… Pour le moment du moins.
Journée à la bibliothèque universitaire pour encore et toujours approfondir mes connaissances et gonfler la bibliographie de ma thèse. J'avais eu du mal à laisser les trois hommes de ma vie à la maison mais j'avais déjà repousser cette journée. Je n'étais pas rentrée de la journée et la seule chose que j'espérais quand je suis rentrée dans le taxis vers 19 heures c'est que Rode avait fait à manger. En gros mettre les pieds sous la table en arrivant. Loin de moi l'envie de le prendre pour mon homme mais plutôt de constater qu'il incarne toujours l'image de l'homme moderne. Je descends du taxis, les bras chargés d'une petite boite pleine de donuts variés pour le dessert. Je descends du taxis après avoir payer la course et me dirige vers l'entrée de ma maison. Quand j'arrive devant la porte, celle ci est ouverte et mes soeurs et mon demi frère se trouve sur le palier. J'ouvre les yeux en grand, un sourire se dessine sur mes lèvres. L'invasion des Honnelly, où comment ça se passe ? Je m'avance vers chacun d'entre eux, le premier est J.C à qui je fais la bise en essayant d'adopter la même posture que je prends avec mes soeurs. Viens le tour de Jo que je sers dans mes bras. Ca va mon coeur ? Oui, je lui parle comme à une enfant, mon gros bébé que je surprotège. Et pour finir j'avance vers Alice et réitère le même accueil chaleureux qu'auparavant J'suis trop contente de vous voir. Nouveau grand sourire et je m'avance dans le salon pour déposer mes affaires avant de me diriger vers, Rode que j'enlace. Toi et tes surprises, t'es vraiment le meilleur. La même bouille que Rode avec plusieurs années en moins s'élance vers moi et se sert contre mes jambes. Je me baisse pour me mettre à sa hauteur pendant que ma fratrie entre pour faire comme chez elle. Ca va mon chaton ? Papa a été gentil aujourd'hui ? Il se met à rire, et moi aussi.
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HORS-SUJET:
Je trouve que c'est parfait Le code de la fiche est :
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Servir des sushis toute une journée ça peut être sympa, mais jusqu'à un certain point. À la fin de ma journée je commençais à sentir le saumon partout où j'allais - même en salle de pause, ou à la salle de bain. Je voyais les heures passer, puis enfin, le 17 heures est arrivé : J'me casse les cassos ! j'enlevai mon tablier avec le sourire et quittai le restaurant en deux, trois mouvements. Ma voiture m'attendait dans le parking et une fois garé dans la cours de la maison de mes parents, j'entendis mon téléphone vibrer. C'était Rick, le mari de Cass. Il nous invitait à manger chez eux ce soir. L'ambiance là-bas ne sera jamais aussi pire que celle à la maison, Frank et Suzan passent leur temps à se chamailler depuis l'arrivée de Jax dans nos vies.
Je descendis de ma voiture afin d'entrer en dedans, puis soupira en entendant mon père crier des absurdités. Putain, c'est quand la dernière fois que vous avez baisé vous deux ? Vous êtes vraiment pas possible. Je montai à l'étage afin de retrouver la salle de bain pour prendre une douche et commencer à tranquillement me préparer pour le repas familiale de ce soir. Même si j'étais peu enchantée de voir J. C., j'avais hâte de voir mes sœurs et mon beau-frère.
Une heure plus tard, j'arrivai devant la porte des Hennelly/Ramsey. Mon frère et ma petite sœur étaient entrain de bavarder devant la porte. "Ponctuel, ça fait bizarre hein ?" je montai le palier pour me retrouver moi aussi, devant la porte avec eux. Vous attendez quoi la ? Je crève de faim. J'entrai dans la maison de Lexington. Rick ? On est là !
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Ce n’était qu’une question temps, mon réveil allait sonner mais j’avais les yeux grands ouverts parce que mon store s’était cassé la gueule le week-end dernier. Je m’étais amusée, peut-être un peu trop avec une douche de champagne dans les veines et un mec que j’avais récupéré en boite, entre deux verre de vodka. C’était vraiment un mélange diabolique pour moi puisqu’en me réveillant, j’avais découvert ma chambre dans un piteux état et avait ce sentiment de malaise lorsque je m’étais levée le matin, pour prendre le petit déjeuner avec Uranie, ma coloc. J’y pensais bêtement quand mon téléphone vibra. Le petit copain de ma soeur aînée nous invitait à aller manger chez lui ce soir. Il ne me réveillait pas alors je n’avais pas besoin d’être désagréable en lui répondant derechef. Je m’extirpais de mon lit et je sautais dans la douche. Une vingtaine de minute plus tard, je prenais un taxi en direction de chez ma soeur aînée. Apparemment tout le monde était invité alors je venais tout simplement pour faire honneur à ma soeur. Mon problème provenait de mon père, il n’acceptait pas le fait que l’une de ses filles n’avaient jamais foulé le hall de l’université mais les études ne m’avaient jamais intéressé. Je l’évitais comme la peste ou le choléra, les deux étaient tout aussi envahissant et destructeur. Lorsque je réglais le taxi, je pensais encore à notre dernier échange, je ne m’étais pas priée pour déclarer la guerre à Alice et me déchaîner sur J.C. « Oui, cette soirée va bien se passer… cette soirée va bien se passer… » Lorsque j'arrivais, je remarquais JC qui attendait devant la porte : « Salut ! » le saluais-je de la manière la plus décontractée : « Ponctuel, ça fait bizarre hein ? » plaisantais-je, avec un petit sourire moqueur.
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Allez savoir pourquoi j’avais accepté de venir ici ce soir. Peut-être était-ce pour faire plaisir à ma grande sœur et son mari. Peut-être aussi était-ce pour avoir la chance de voir Alice sans devoir prétexter une répète du groupe ou je-ne-sais-quoi du genre. Quoi qu’il en soit, il était l’heure et j’étais déjà devant la maison des Ramsey. J’inspirai un coup et éteignis le moteur de ma voiture, gardant les mains sur le volant. Il n’était pas trop tard pour partir. Après tout, ça m’éviterait peut-être de passer une de ces soirées bizarre où nous faisions tous semblant d’être une famille heureuse. En réalité, nous savions tous que c’était extrêmement faux et que j’étais visiblement de trop. Ils étaient proches, eux. Moi, j’étais simplement le reflet de ce que Frank leur avait imposé. Si seulement il s’était contenté de détruire la vie de maman. Mais non, il s’était dit que détruire celle de tous ses enfants et de son autre femme aussi serait intéressant. Connard. Je rejetai l’air que j’avais dans les poumons et sortis de là avant de me convaincre moi-même de rebrousser chemin. Allez JC, juste une soirée, juste un souper. Toquant à la porte, j’enfonçai ensuite les mains dans mes poches, fixant un point au sol en attendant qu’on m’ouvre.
Aujourd'hui, sans aucune raison, j'ai décidé d'invité les membres de la famille à Cassidy : Alice, Joana et J.C. Ma journée de travaille a terminer un peu plus tôt que prévu ce qui m'a donné un peu de temps pour aller faire une petite épicerie histoire de ne rien manquer. J'avoue, je ne suis pas le meilleur cuisiner de Boston, souvent je brûle mon poulet que j'ai pris tant de temps a préparé. Avec le temps j'ai fini par connaitre par coeur le numéro de téléphone de la pizzeria, ce qu'il fait rigoler mon petit Logan âgé de 5 ans. J'arrive à la maison une demi-heure plus tard et commence doucement à me préparer. Il est déjà 16 h et je commence à cuire mes pâtes. J'ai décidé d'y aller avec un plat simple, une bonne lasagne d'une recette familiale. Avec ça je suis certain de marquer des points, personne ne pourrait dire qu'elle est brûlée. En même temps que de partir la cuisson de ma sauce, je prends mon cellulaire pour pouvoir envoyer à chaque membre des Hennelly un joli SMS d'invitation à venir manger chez les Ramsey. J'espère qu'ils pourront tous venir, la dernière fois que nous nous étions réunis s'était pour la veille de Noël où cette fois-ci rien n'avait été brûler.
J'ai décidé d'écrire un rp suite au message de J.C dans la demande de lien à Joana. Il n'y a pas vraiment d'ordre, si vous ne pouvez/voulez pas participer au rp, juste a m'envoyer un SMS directement dans mon sujet de téléphone pour rendre ça plus réel le sujet se trouve ici && j'ai inventé un hashtag pour la famille je ne sais pas si ça vous plait, mais je trouvais ça sympa #Hennellysquad
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